Samedi 8 c’était l’occasion de retourner à Ryogoku (après avoir assisté au plus gros feu d’artifice de l’été) et d’aller faire quelques musées.

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Musée du feu d’artifice

Après avoir mangé un Mc Do bien mérité (faut bien se justifier de manger de la « junk food » au Japon), direction le musée du feu d’artifice avec un collègue. Muni d’un plan et de notre intuition, nous voilà parti à sa recherche. Nous nous trouvons devant un bâtiment hébergeant moult chose (théâtre, centre de gym, piscine, habitations, magasins,…) indiquant la présence du dit-musée en ces lieux. Après avoir tourné en rond, nous nous dirigeons vers un temple pour demander notre chemin et profitons pour prendre quelques photos. C’est un temple doté d’un cimetière dédié aux animaux de compagnie. Un chat semble monter la garde et veiller sur ses congénères. La gardienne du temple nous indique un bâtiment à côté. On s’y rend.

Le musée tient en une seule pièce et est animé par un homme âgé – un ancien pyrotechnicien. On peut observer des bombes en coupe dont les composant on été colorés afin de nous expliquer sont fonctionnement. Des photos parsèment les murs et des mortiers de plusieurs tailles gardent l’entrée. Il nous passe un film sur la frabrication artisanale des bombes, présentant les détails de conception quant à l’obtention des différents formes que l’on peut observer lors des hanabi. Enfin, il nous montre quelques plans d’implantations, notemment celui du gros feux d’artifice auquel on a assisté la semaine dernière.

Après avoir passé plus d’une demie-heure, nous repartons en direction du musée d’Edo.

Musée Edo

Le musée Edo est situé dans un bâtiment dont l’architecte a absolument voulu éviter d’avoir à réfléchir pour l’aménagement des sous-sols, ou alors peut-être craignait-il une inondation. Quoi qu’il en soit, l’accès se fait par un escalator sur 6 étages, autant dire que c’est le plus grand que j’ai jamais pris.

La période d’Edo (1603-1867) en est bien sûr le thème majeur. Sont également présentées les périodes qui ont suivi jusqu’au début de la deuxième guerre mondiale. Le tout entreposé dans un bâtiment de plus 30 000 m².

Nous y passons une bonne partie de l’après midi et je file ensuite en direction d’Itabashi.

Itabashi

Une fois n’est pas coutume, le petit feu d’artifice du samedi soir 😉

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